Madame, Monsieur,
je souhaiterais vous exposer notre situation pour obtenir des renseignements sur les droits/obligations de notre bailleur ainsi que les nôtres.
Résidents en Guyane de 2015 à 2021 ma compagne et moi avons souscrit à un bail à distance en juin pour loger dans un appartement situé dans la ville de Provins en Seine et Marne. Nous sommes parents d’un enfant de 3 ans et demi. L’appartement se situe dans un bâtiment très ancien ( façade en colombage) dont la restauration daterait visiblement de la fin du 19 ème siècle.
L’état des lieux a été effectué à la mi-juillet , nous sommes restés dans l’appartement quelques jours le temps de commencer l’emménagement.
Etant en transition durant l’été nous nous sommes installés de manière définitive le 23 août dernier.
Le mercredi 1 septembre un radiateur (contenant des éléments de fonte donc plutôt lourd) s’est décroché du mur pour chuter sur l’oreiller du lit de notre enfant ( qui heureusement ne s’y trouvait pas ). Le lit était disposé au sol à cet endroit de manière provisoire car nous n’avons pas reçu la structure du lit.
Le bailleur a estimé qu’une telle chute était impossible. Ce qui peut se comprendre. Toutefois j’ai pris le soin de garder les chevilles de fixation ( qui n’ont subies aucune torsion ; elles sont donc droites) et j’ai pu constater que le radiateur en question a été visiblement fixé sur une partie en plâtre ( fine) puis sur une partie en polystyrène plus importante.
D’autres incommodités étaient parvenues durant notre installation et nous craignons de devoir faire face à d’autre soucis , et donc, à d’autres échanges tendus et désagréables avec le propriétaire.
Je souhaiterais ainsi connaître nos droits et obligations ainsi que celle du bailleur qui est un particulier. La souscription d’un bail à distance nous a t-elle été préjudiciable pour certains de nos droits ?
De mon côté je souhaiterais prouver au propriétaire que la chute de ce radiateur (lourd) n’est pas de notre fait. Auprès de qui devons nous nous rapprocher ?
En vous remerciant d’avance de l’attention portée à ce courriel.
Cordialement
Chartier Gwilherm