Bonjour,
Je travaille dans une association et suis victime de harcèlement de la part d’un membre élu.
Ma direction est au courant et va faire en sorte de l’évincer. En attendant, je dois toujours collaborer avec cette personne.
Le harcèlement étant la goute d’eau qui fait déborder le vase puisque outre celui-ci, mon travail me pèse beaucoup depuis plusieurs mois. J’ai prévenu récemment ma direction que je souhaitais à court terme changer de voie professionnelle et donc les quitter, elle est compréhensive quant à une démission pour négocier le prévis si par chance je trouvais un autre emploi.
Toutefois, je ne me sens pas en capacité moralement de chercher un nouvel emploi pendant que je suis toujours en poste et donc dans un cadre professionnel néfaste.
J’aimerais donc proposer une rupture conventionnelle ce qui me permettrait de chercher du travail correctement une fois cette mission terminée pendant une période soutenue financièrement par l’ARE.
Le harcèlement étant l’œuvre d’un élu (donc ni employeur, ni salarié, mais tout de même dans le cadre de mon travail) peut-il jouer et motiver l’acceptation par ma direction d’une rupture conventionnelle plutôt qu’une démission ?
Si elle refuse la rupture conventionnelle et que je démissionne car je n’en peux plus moralement du fait du harcèlement, pourrais-je prétendre à l’ARE pour rechercher sereinement un nouvel emploi ?
Merci de votre aide
- Il y a 3 ans Posté
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