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Bonjour,

Je discutais avec une voisine que je vois rarement, elle me dit qu’elle vient au secours d’une de nos voisines qui habite l’étage au dessus, dès que son mari devient violent, elle vient se réfugier chez elle. (je ne suis au courant de rien, je ne m’occupe de personne, je suis quelqu’un de très discrète). Je lui réponds que c’est très beau ce qu’elle fait, il ne faut pas laisser les gens en danger. Je lui dit que moi même, je me suis trouvée en danger, la police m’a dit de vite me réfugier chez quelqu’un le temps qu’elle arrive, je suis allée chez une voisine qui est ex policière, qui n’a pas voulu me laisser renter, elle m’a laissé devant sa porte, et je finis en disant “aller ne parlons pas “d’alcolos” et j’ai pris congé

L’ex policière vient sonner chez moi, me le reproche en me hurlant après (la voisine lui a répété), j’ai voulu lui dire le pourquoi de ces paroles (ça m’a fait mal de savoir qu’un aide une personne, alors que moi, elle m’a laissé en danger). Elle m’a hurlé en m’injuriant de tout les noms, en me traitant d’alcoolique etc.

Quelques jours après qu’elle est reçu mon courrier avec A/R, elle me le met sur mon tapis. Mon infirmière me le fait constater. Je le mets sur la porte de l’ex policière, discrètement. Dans l’après midi, ça sonne chez moi, je regarde à travers l’œil de bœuf, c’était elle avec ce courrier à la main. Je ne réponds pas.Elle insiste à sonner et sonner, j’en ai eu marre (j’ai des gros problèmes de santé), j’ai mis l’enregistreur de mon téléphone mobile en route et je l’ai enregistré. 1 h après, ça sonne à ma porte, je vois une dame, j’ouvre, elle me demande i ça sent le brûlé chez moi, je lui dit non, elle me répond, “regardez, on a brûler votre tapis”, ça sent le souffre et le feu dans tout le couloir commun. J’appelle la police, 2 policières arrivent et me demandent si j’ai une idée de qui a pu le faire, je réponds “ma voisine avec le courrier…”. Elles se rendent chez elle, d’un coup je les entend rire, elles ne revenaient pas (pourtant, elles m’ont dit qu’elles étaient pressées). Une fois revenues, une d’elles me disent très froidement et sèchement, “non, ce n’est pas elle qui a brûlé votre tapis, quant à vous arrêtez de lui mettre tous les jours des mots sur sa porte pour vous plaindre de son fils (faux, son fils est très calme). Elles me disent, “votre tapis n’est pas brulé”, une des deux me dit même “c’est peut être votre chat qui a brulé le tapis”. Elles m’ont humilié. La personne qui est venue me prévenir pour mon tapis, sort sur le seuil de sa porte, leur dit “le tapis de cette dame a été brulé”, elles ne l’ont pas laissé finir de parler, elles lui ont dit “rentrez chez vous, on s’en va”. J’en étais malade, je n’arrivais plus à manger. Peu de temps après, je demande à l’ex policière d’avoir une discussion avec elle afin d’apaiser ces tensions. Tout se passe bien, je lui explique pourquoi j’ai dit “alcoolique” (laisser en danger….), elle reconnait avoir été très dure avec moi, elle était très fatiguée. J’appelle le bailleur, lui explique, notre terrain d’entente. Oufff, enfin tranquille, mais pour peu de temps, le soir elle a recommencé avec sa voisine. Ça a duré des mois… Mes infirmières, elles mêmes n’en revenait pas et étaient embêté de voir que je ne mangeais plis à nouveau. L’ex policière trouvait tout les moyens pour me déranger, elle me parlait pire qu’à un chien, qu’ensuite, dès que je sortais, je mettais mon enregistreur en route de peur de là croiser.Entre temps, mon bailleur m’envoie un courrier, en objet : Troubles de voisinage. Dans le corps du courrier, le bailleur note, qu’il est saisi d’une plainte de voisinage relative à des “nuisances liées à ma personne”, ce qui est complètement faux, vu mon état de santé et d’autre part, depuis 2013, j’habite la résidence, jamais je n’ai fait d’histoires à mes voisins, jamais de bruits. Et aujourd’hui, elle me dit avoir envoyé un courrier avec A/R à notre bailleur, suivie d’une main courante, pour l’avoir espionnée avec mon téléphone derrière sa porte, (sa voisine m’aurait vu faire). Elle m’a pratiquement accusé d’avoir griffonné un courrier accompagné d’une pétition qu’elle a collé sur la porte du hall d’entrée Là c’est trop… Comment peut on s’acharner après une personne à ce point.

Comment doit procéder un bailleur lorsqu’un locataire se plaint de nuisances venant de son voisin ?

Est ce que le locataire doit prévenir son voisin avant toutes démarches auprès du bailleur, par voix oral, par courrier ?

Quelles sont les démarches du bailleur auprès de ce voisin qui qui serait bruyant ?

Que veut dire “Nuisances liées à votre comportement” ?

Comment se défendre contre ces fausses accusations ? Le premier jour de ce litige, j’ai prévenu mon bailleur( en étant sincère et honnête, qui n’a rien fait pour moi).

Cordialement.

 

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Bonjour,

Un bailleur peut engager des poursuites si les troubles ne cessent pas.

Mais vous n’êtes pas obligée de contacter votre bailleur vous pouvez vous rendre directement à la gendarmerie pour porter plainte contre votre voisine pour harcèlement. Prenez tous les éléments de preuve dont vous disposes, photographies du tapis brûlé, lettre recommandée que vous lui avez envoyée, passage de la police, témoignages. Vous pouvez également faire appel à un huissier qui peut constater des dommages si d’autres incidents survenaient.

J’espère vous avoir aidé et n’hésitez pas à nous recontacter si vous avez d’autres questions !

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Bonjour

 

Je ne vois votre réponse seulement maintenant, veuillez m’en excuser.

 

Je pensais bien faire en prévenant mon bailleur, je pensais que c’est auprès de lui que je pouvais rencontrer un conciliateur de justice (je n’ai jamais eu ce genre de problème, c’est la première fois). Je lui ai envoyé plusieurs mails pour lui dire mon désir de rencontrer un médiateur, il ne m’a jamais répondu. J’ai du me débrouiller seule. Au mois de novembre 2019, j’ai pris rendez-vous avec le conciliateur de justice de la mairie de chez moi.  afin de demander une médiation avec cette mes deux voisines et ces soit distants voisins qui se sont plaints de moi. Au mois de décembre 2019, pas de nouvelles, je prends à nouveau rendez-vous. elle me dit faire le nécessaire. Ensuite est venu le confinement, donc pas de nouvelles. J’étais tellement fatiguée, j’ai laissé tomber.

 

Mes deux voisines ont continué leur harcèlement envers moi. J’en informe à nouveau mon bailleur au mois de juin 2020, qui me dit de continuer mes démarches avec la conciliatrice, lui ne peut pas intervenir, c’est un problème interpersonnel.

 

En juillet 2020, j”envoie un mail à la conciliatrice qui me répond avoir écrit à mon bailleur en mai 2020 et me demande où en est cette histoire. Je me rapproche de mon bailleur, lui fait part que la conciliatrice s’est rapprochée de lui, il me dit n’avoir rien reçu.

 

Les voisines ont continué, là j’en ai eu plus que marre, j’ai envoyé un courrier de mise en demeure à mon bailleur afin qu’il bouge. Enfin, les deux voisines reçoivent un courrier pour les calmer.

 

Fin août 2020, mon bailleur m’écrit qu’il est en contact avec la conciliatrice depuis le début de cet harcèlement. J’écris mécontente à la conciliatrice de justice pour lui demander pourquoi ne pas me l’avoir dit,( c’est moi la concernée), depuis elle ne m’a pas répondu. J’avoue être écœurée de constater que j’ai tout fait pour mettre un terme à ce harcèlement, alors que la conciliatrice n’a rien fait de son côté. J’ai même fait appel au maire, son adjoint m’a téléphoné, il me dit se rapprocher de la conciliatrice de justice afin qu’elle revienne vers moi, j’attends toujours. Je n’étais pas au courant qu’en fait la conciliatrice et mon bailleur étaient en contact.

 

En ce qui concerne mon tapis, j’ai écrit à l’IGPN pour leur expliquer ce que j’écris ci-dessus. On m’a répondu. On m’a demandé d’envoyer en P J les photos du tapis brûlé et l’enregistrement, où elle m’injurie à me dire “alors vieille couille, tu ne répond pas, tu vas voir ta merde”, pour ensuite l’entendre faire du bruit derrière ma porte est à leur disposition. Une fois tout envoyé, on m’a attribué un n° de dossier. Mon histoire est prise au sérieux par leur service. Ce que j’ai pu faire est d’agrandir la photo (que j’ai pris le jour où j’ai déposé mon courrier trouvé sur mon tapis) sur la porte de l’ex-policière. On arrive à lire la fin du courrier et voir ma signature. J’ai à nouveau écrit à l’IGPN pour leur en faire part. Le jour, où ma voisine (l’ex-policière) a  déposé mon  courrier sur mon tapis, elle ne sait pas que j’ai pris des photos. Heureusement que j’ai eu cette idée de photo. Donc, je pense que cette affaire va avoir une suite, j’ai mis mon dossier entre les mains d’un avocat.  Ma santé s’est empirée,  cela m’a déclenché une dépression.

 

Cordialement.

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