Suite à séparation en septembre dernier alors que nous détenions une maison en commun depuis peu. J’ai trouvé une solution auprès d’un ami qui a proposé de racheter la part de mon ex-compagne, soit 50% de la maison.
Deux solutions s’offraient à nous :
1) Faire un prêt commun pour racheter l’ancien prêt.
2) Que je garde mon prêt actuel diminué de moitié grâce à un prêt fait par mon ami de son côté, moyennant désolidarisation dudit prêt de mon ex-compagne. Nous parlons donc d’aboutir à un prêt individuel chacun portant sur la même maison.
Nous avons opté pour la 2e solution puisque ma banque actuelle se proposait de la réaliser plus rapidement qu’un prêt classique, soit en un a deux mois.
Les délais n’ont par contre pas été respectés puisque ce n’est qu’en mars que l’acte notarial a pu être signé.
Voici maintenant le problème qui me concerne ici. Lors de la négociation, il a été question de l’assurance de prêt pour laquelle je ne pouvais plus être à 50% mais à 100%. Mon conseiller m’a alors annoncé par mail un cout mensuel de l’ordre de 67 euros.
En avril, l’avenant de désolidarisation a été proposé à la signature. Il apparaissait alors un mensualité de départ à 104e (et non a 67e comme attendu). Ne voulant pas faire tarder plus le processus, je l’ai signé. Mais pas mon ex-conjointe, simplement par oubli, le rendant caduque.
Il m’a fallu 6 mois pour que mon conseiller accepte d’en émettre un nouveau, mais cette fois-ci la première mensualité est de 150euros, soit encore 50% d’augmentation. On est bien loin des 67 euros annoncé par mail initialement. Il me reste quelques jours pour le signer avec menace qu’aucun autre avenant ne sera plus proposé.
Quels sont mes recours face à une telle proposition ?
1) Je le signe mais il me semble que je ne pourrais plus faire valoir de défaut de conseil de la part de mon conseiller, et que je devrais attendre un an soit 600e de perte pour pouvoir faire jouer la loi Allur et changer d’assurance.
2) Je ne le signe pas. Qu’en est-il de mon prêt puisque l’assurance actuelle porte sur moi et mon ex-compagne alors qu’elle n’est plus propriétaire du bien pour lequel le pêt est destiné. Mon prêt peut-il être remis en question ? Est-ce ma meilleure carte pour faire valoir mes droits auprès de mon établissement ou du conciliateur des banques.
Je rencontre le directeur de l’agence courant novembre pour discuter des multiples erreurs qui ont été réalisées sur mon dossier par mon conseiller mais d’ici là, je dois prendre une décision.
D’avance merci pour vos avis.
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